Vous êtes-vous déjà demandé comment est né l’ours en peluche ? Après tout, chaque jouet a une origine et une explication de son histoire; et avec l’ours en peluche, cela ne pourrait pas être différent.
Voyons donc l’explication de l’apparition de l’ours en peluche. En fait, il n’y a pas qu’une seule version de l’histoire, mais nous allons vous parler des deux qui existent. Tout commence au XIXe siècle aux États-Unis.
La première version indique que le président américain Theodore Roosevelt aurait été invité à une chasse à l’ours. Cependant, il aurait refusé de participer à l’événement et cela aurait inspiré l’invention de l’ours en peluche. Le jouet s’appelait teddy-bear, en l’honneur du président qui était surnommé Teddy.
L’autre version de l’histoire dit que le président est même allé à la chasse à l’ours, mais a refusé de tuer l’animal. Ce fait a été trop médiatisé et cela a inspiré Morris Michtom à créer l’ours en peluche. Le succès a été tel qu’il lui a permis de créer la Toy Company, qui est l’une des plus grandes entreprises de jouets existantes.
Aujourd’hui, ce produit est disponible en France dans de collections différentes : les peluches de la collection Ours Kiwi produits par Ours Kiwi Paris, les peluches de la collection Steiff Ours de la marque Teddy Steiff vendus par la boutique Calin’Ours, la collection Ours Bellydou de la marque Histoire d’Ours. Pour un cadeau de naissance ou tout autre événement, vous pouvez acheter un ours de couleur blanc, rose, marron. De même, vous pouvez commander des peluches de grande ou de petite taille, une peluche éléphant, un nounours personnalisé… Certaines boutiques en proposent des prix intéressants avec une livraison gratuite.
Vous avez certainement dû avoir un nounours en peluche préféré ou connaître quelqu’un de très proche qui avait un doudou en forme d’ourson célèbre. Les nounours en peluche sont l’un des jouets préférés de certains enfants et jouent également un rôle important dans leur développement. Découvrez maintenant quelques-unes des raisons pour lesquelles les nounours sont importants.
1 – Confort
Selon des chercheurs de l’université de New York, le doudou en forme d’ours en peluche (ou d’autres peluches en forme d’animal) aide à se réconforter en période de stress et de détresse. En effet, l’ours, l’éléphant ou d’autres animaux en peluche représente un morceau de la mère qui est toujours présent. C’est pourquoi, pendant les premières années de sa vie, l’ourson en peluche est très important pour ce sentiment de sécurité, même lorsque la mère n’est pas là.
2 – Perception du monde extérieur
Certains enfants sont attachés à un ours spécifique, surtout dans les premières années de leur vie. Il se trouve que c’est à partir de cet âge que les petits commencent à reconnaître le monde extérieur et à le gérer d’une manière ou d’une autre. Le doudou ours, qui transmet ce sentiment de sécurité et de confort, aide beaucoup dans cette phase de nouvelles découvertes. De cette façon, les enfants ne se sentent pas rejetés par l’absence de leur mère. Ils savent qu’ils ont l’ours et se sentent plus courageux pour explorer le monde extérieur.
3 – Imagination
Le doudou en peluche est aussi un jouet avec lequel on crée des histoires. Ce genre de jeu stimule l’imagination de l’enfant. De plus, l’enfant parle et se défoule même avec l’ourson en peluche, ce qui contribue également au développement émotionnel.
Le divorce est un acte douloureux pour les enfants surtout qu’il nuit à leur intégration sociale. Les enfants de parents divorcés sont plus perturbés et plus agressifs que les autres enfants. Ils sont souvent sujets à des troubles caractériels tels que la violence, les fugues, l’anxiété… Parfois l’agressivité qu’ils éprouvent peut se retourner contre eux et engendrer un comportement suicidaire fréquent notamment chez les jeunes de 15 à 20 ans. Comment faire alors pour annoncer la décision du divorce à ses enfants sans les choquer ? Quand l’annoncer ? Faut-il cacher sa tristesse et prendre sur soi ?
Dans le cas de divorce, le message essentiel à faire passer à son ou à ses enfants est que vous avez pris la décision de divorcer parce que vous n’êtes pas heureux ensemble et que le fait de rester ensemble vous fera très mal et sera gênant pour toute la famille. Il faut par ailleurs lui expliquer que ce sont des problèmes d’adultes et que la faute n’est pas à lui en précisant que la maman et le papa ne manqueront de s’occuper de lui et d’être toujours à ses cotés.
Il est important pour la psychologie de l’enfant de le rassurer et lui dire que le couple parental restera toujours uni même si le couple conjugal est en crise et qu’il grandira entouré de l’appui maternel et de l’appui paternel dans leurs différences. Ainsi ils pourraient s’occuper de son éducation ensemble et subvenir à tous ses besoins dans le respect des modalités de garde.
Pendants les crises conjugale les parents hésitent et se trouvent parfois au bord de la rupture. Inutile de l’annoncer tant que la décision n’est pas encore prise, parce que dans ce cas l’enfant va culpabiliser et penser qu’il est de son ressort d’arranger la situation.
Vous pouvez opter pour des formules comme : « Tu vois que cela ne va pas bien entre ton père et moi. Nous allons réfléchir tous les deux à ce que nous allons faire et nous te dirons ce qu’il en est dès que nous serons décidés. » Et dès que la décision est prise vous pouvez la lui annoncer ensemble. Si vous avez plus d’un enfant, il convient de s’adresser à tout le monde en même temps pour répondre à toutes leurs questions.
L’important, c’est de dire la chose le plus simplement possible, devant tous les enfants réunis. Les petits comme les grands ont droit à la vérité. Ne parlez surtout pas d’une séparation provisoire. Cela va se répercuter sur ses résultats scolaires et peut créer un trouble de comportement chez l’enfant. Mieux vaut lui dire la vérité toute crue que de le laisser espérer et attendre les retrouvailles, sinon il commencera à faire des cauchemars, faire pipi au lit. L’enfant ne doit jamais avoir à choisir entre son père et sa mère, mais cela n’empêche qu’il a tout à fait le droit de dire : « Je veux rester avec papa ou avec maman ! »
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Environ 10% d’enfants sont atteints d’énurésie ou “pipi au lit“. On ne peut parler de cette miction active, complète, inconsciente et involontaire qui se produit pendant le sommeil que vers l’âge de 5 ans, car c’est l’âge où le contrôle physiologique du sphincter vésical est déjà acquis. Il existe l’énurésie primaire quand l’enfant n’est jamais propre et l’énurésie secondaire qui survient après 6 mois. Pour celle-ci, la cause serait une infection urinaire ou une parasitose intestinale. On parle aussi d’une énurésie nocturne isolée qui représente 65 % des cas, l’énurésie diurne isolée (3 %) et des énurésies diurnes ou nocturnes.
L’énurésie diurne ou le fait de faire pipi dans son pantalon pendant la journée lorsque l’enfant est éveillé. A l’école l’enfant qui mouille ses vêtements en classe sera sujet aux moqueries de ses camarades qui vont croire qu’il manque de maturité. Ainsi cet accident très intimidant pour l’enfant sera l’un des plus mauvais souvenirs qui marquera à jamais sa psychologie. Face à ce type d’énurésie, les parents sont souvent beaucoup moins tolérants parce qu’ils pensent que leur enfant provoque presque volontairement ces accidents par pure paresse. Voilà pourquoi un traitement contre l’énurésie doit s’imposer.
Les causes de l’énurésie diurne ne sont pas toujours psychologiques. Ce facteur n’intervient que dans le cas des énurésies secondaires. La plupart des enfants qui font pipi au lit sont des enfants tout à fait normaux vivant dans des familles normales aussi. La cause principale est donc l’hérédité. Ainsi, un enfant dont un parent est énurétique a une chance sur deux de l’être et le risque d’être atteint est de plus de 75 % lorsque les deux parents ont eu ce problème. Mais quand il s’agit de l’énurésie primaire la cause est soit l’immaturité de la vessie soit le trouble hormonal de l’ADH ou Hormone Antidiurétique qui est responsable de la production d’urine.
La périnéologie est une technique permettant d’aborder la prise de conscience périnéale et sphinctérienne de l’enfant. Elle s’est avérée toutefois, infructueuse parce que les parents vont avoir un comportement néfaste vis-à-vis de l’enfant, en pensant bien faire. Face à la difficulté de résoudre les problèmes les parents seront complètement désarmés.
Les thérapies Cognitivo-Comportementales tcc reposent sur des traitements mettant en évidence les éléments cognitifs des parents (vécu qui dicte un mauvais comportement) pour les aider à détecter les conflits liés à l’éducation et qui sont enclins à influencer négativement l’évolution de l’enfant.
Toutefois, dans le cas de ce traitement, les psychiatres tcc sont convaincus que l’enfant ne peut pas être traité sans la collaboration de son environnement parce que l’enfant dépend du comportement de ses parents, de la fratrie, et de l’enseignant. L’approche de la thérapie comportementale et cognitive doit être globale en tenant compte de plusieurs facteurs :
Selon la définition de la psychose infantile cette maladie traitable affecte le cerveau ainsi que la psychologie de l’enfant et contribue à une certaine perte de contact avec la réalité. L’enfant peut ainsi sembler très anxieux, hostile et refusera que quiconque le touche. Il aura une hypersensibilité aux sons, aux odeurs, à la lumière, aux couleurs et aux textures. Si les parents n’y prêtent pas attention son état peut se détériorer avec le temps et il finira par avoir des hallucinations et des délires.
Les prémices des psychoses infantiles de la période de latence se révèlent entre six et douze ans et elles ne sont pas très fréquentes comme les psychoses précoces. En France les psychoses sont classées ainsi :
Les causes de la psychose infantile sont encore discutées mais les spécialistes estiment que ce handicap est dans la plupart des cas dû à deux facteurs majeurs :
Le problème d’un enfant psychotique est qu’il ne parvient pas à se servir de son intelligence de manière pragmatique comme un enfant normal. Il a du mal à supporter le changement, a une attitude de retrait et opte souvent pour des jeux stéréotypés tels que faire tourner un cerceau avec un bâton ou lancer une balle contre un mur. Il ne parvient pas à s’exprimer à temps et il a toujours une image corrompue de soi et des autres. Mais il faut savoir que le degré d’intensité de ces symptômes varie d’un enfant à un autre.
L’anorexie est un trouble du comportement alimentaire (TCA) qui se multiplie dans les pays occidentaux et affecte les adolescents ou les adultes (l’anorexie mentale) et les enfants en bas âge (l’anorexie du bébé).Chez les jeunes et les adolescents cette maladie est liée à la pression sociale des images idéalisées des mannequins. Au sein de la famille, l’anorexie des enfants et des nourrissons est un véritable drame pour les parents qui commencent à culpabiliser en pensant que cette maladie est due à leur manque d’attention.
Les parents ne doivent pas confondre anorexie d’enfant et troubles de l’appétit à cause de certains facteurs tels que : la poussée dentaire, l’infection virale, comme une rhino-pharyngite ou une gastro-entérite, l’infection bactérienne pulmonaire ou urinaire. La perte de l’appétit peut être également due à une intolérance alimentaire ; un trouble du développement psychomoteur ; une maladie grave ou une allergie.
L’anorexie du nourrisson au niveau psychologique est rare. Mais elle peut débuter, en moyenne, à partir du 6ème mois. Il est difficile de la détecter au début puisqu’elle commence souvent par une petite baisse d’appétit, et peu à peu l’enfant ne termine plus son biberon ou son assiette, recrache les morceaux qu’on essaye de lui introduire de force ; serre les lèvres ou tourne la tête et résiste à toutes les manœuvres pour l’inciter à manger. Ensuite, son refus devient de plus en plus fort par rejets plus affirmés de son biberon, ou son assiette en pleurant et en se mettant en colère. Ainsi chaque repas se transformera en un véritable calvaire pour les parents et pour le bébé lui-même. Toutefois, quand une personne étrangère s’occupe de lui, il peut manger avec plaisir.
Causes de l’anorexie
Nous avons demandé à un psy pour enfants de nous relever les causes qui peuvent contribuer à la diminution de l’appétit d’un bébé et il a répondu : “l’appétit peut diminuer à cause d’une infection ou d’une sortie de dents. Il est également possible que l’enfant soit un petit mangeur qui ne parvient jamais à finir son biberon ou son assiette comme l’exigent ses parents. D’autres part l’enfant s’habitue mal aux aliments solides et préférerait continuer à boire son lait, comme avant”.
Dans ce cas les parents doivent respecter les prescriptions des pédiatres concernant la diversification alimentaire des spécialistes.
Mécanisme de l’anorexie
Souvent les parents qui sont face à un bébé anorexique le forcent à manger parce qu’ils sont inquiets. Cette attitude ne fera qu’aggraver la situation et prendra des proportions alarmantes comme le rejet de toute nourriture et les vomissements après un repas forcé. Devant l’insistance des parents le refus des enfants sera une sorte de défense légitime pour dire qu’ils existent.
L’anorexie reste une maladie difficile à soigner mais pour résoudre ce problème, tout d’abord, il est important de ne pas forcer votre enfant à manger, pour ne pas aggraver son blocage face à la nourriture. Tâchez de lui présenter des aliments variés et colorés. Il est également nécessaire d’instaurer un rythme et de respecter les horaires de repas. Enfin, faites votre possible pour aborder les repas sans anxiété et dans la bonne humeur. Mais si malgré vos efforts les troubles persistent, il convient de consulter un professionnel tel que le psychothérapeute ou une personne spécialisée dans les troubles du comportement alimentaire.
Les troubles du comportement alimentaire sont très fréquents chez les enfants et surtout les adolescents, pour les freiner, il faut en relever les symptômes et consulter un spécialiste pour les prévenir. Bien qu’elle ne soit pas aussi dangereuse que l’anorexie, la boulimie a des conséquences physiques néfastes enclines à entrainer des problèmes d’ordre psychologique et social (obésité, culpabilité, tristesse…). La plupart des parents appréhendent ce comportement pathologique qui représente une sorte de revanche visant à atténuer la souffrance par le plaisir de manger.
La boulimie n’est pas une simple prise alimentaire excessive, occasionnelle ou chronique, qui contribue à l’obésité. C’est un comportement alimentaire anormal ! C’est l’un des troubles du comportement alimentaire les plus dangereux. C’est le caractère impulsif et répétitif de la consommation d’aliments prédominant qui va vous permettre de l’identifier. La personne boulimique ne mange pas parce qu’elle a envie de manger. Bien au contraire, cet acte est dépourvu de plaisir et le boulimique a un rapport maladif avec la nourriture, ce qui le conduit à en absorber une quantité maximale.
Quand on est boulimique, c’est qu’on n’est pas bien dans sa peau, qu’on ne s’aime pas si bien qu’on ne pense à rien d’autre que de manger. La nourriture serait ainsi la seule manière pour combler ce vide, puis vient le sentiment de culpabilité d’avoir trop mangé et le recours au vomissement.
Certes, il n’est pas facile de soigner la boulimie, mais les parents doivent essayer au moins de réduire l’impact de cette pathologie en douceur jusqu’au jour ou l’enfant puisse surmonter ce problème de nutrition infantile.
La boulimie apparaît le plus souvent au début de l’adolescence, c’est pourquoi les parents doivent faire preuve de vigilance à l’égard du comportement de leur enfant à cet âge. Il est par ailleurs nécessaire de comprendre que la boulimie est une compulsion irrépressible plus forte que la volonté de l’individu. Pour ce faire, les parents sont censés commencer par maintenir le dialogue pour comprendre son mal et l’aider à évacuer sa souffrance. Mais, si la crise persiste encore, les parents doivent convaincre l’enfant de consulter un spécialiste en psychologie infantile. Il existe en sus des associations rassemblant des personnes boulimiques et leurs familles et dont le but est de traverser la crise et trouver des conseils pratiques.
Il n’existe pas de médicaments spécifiquement dédiés à la boulimie sauf si l’enfant a des symptômes de dépression et d’anxiété (antidépresseur ou anxiolytique). Mais, la psychothérapie est une solution idéale pour vaincre la boulimie. La thérapie cognitive et comportementale (TCC) est celle qui donne les meilleurs résultats pour ce trouble du comportement alimentaire. Elle se prolongera ainsi sur plusieurs mois.
Les troubles du comportement de l’enfant prennent plusieurs formes telles que l’agressivité, la violence, les dommages aux biens d’autrui, le mensonge, le vol, le refus de coopérer, tant à la maison qu’à l’école. Toute mauvaise conduite d’un enfant implique un engagement de la part des parents, engendre des ennuis continuels à domicile et génère un climat de tension fatiguant. Quels en sont les causes et les solutions possibles ?
Parmi les facteurs qui pourraient entraîner des troubles de comportement ont peut citer :
Les troubles du comportement chez l’enfant peuvent se manifester sous forme d’une mauvaise conduite accidentelle ou intentionnelle. Il est donc nécessaire de faire la distinction entre les deux.
Les causes du trouble du comportement de l’enfant sont soit évidentes soit sous-jacentes. En voici quelques unes :
C’est au psy de l’enfant qu’il appartient de déceler les symptômes des conflits psychiques sous-jacents.
Ce qui empêche souvent les parents de détecter les symptômes de la mauvaise conduite chez leurs enfants c’est qu’il n’y a pas de véritable différence entre des comportements considérés comme normaux et des comportements pathologiques : violence, mensonge, chapardages, colères…
Actes agressifs, colères, travestissement de la vérité, chapardages, et les troubles du comportement d’enfants plus âgés. Seule la persistance de l’un de ces comportements au-delà d’un certain seuil peut susciter l’inquiétude des parents et les inciter à consulter un psychiatre.
Par exemple le mensonge chez l’enfant de 6 ou 7 ans, (l’âge dit “de raison”) ou l’enfant jeune tend à déformer souvent les faits ou en inventer sans attribuer à cela la valeur du mensonge, car il n’a pas l’aptitude de distinguer la notion du vrai et du faux, de l’imaginaire et du réel.
Mais, si c’est le cas du mensonge névrotique, il est question d’un comportement pathologique qui a pour but de compenser, au niveau imaginaire, une infériorité ou une insuffisance que l’enfant ressent comme le fait d’inventer un père beaucoup plus riche et puissant que la réalité. C’est une sorte de fabulation, plutôt que de mensonge.
Cette invention est souvent fréquente chez l’enfant de moins de 6 ans, sans trouble psychopathologique notable. Tandis qu’elle peut s’avérer inquiétante chez un enfant plus âgé.
Le vol aussi est un comportement révélateur d’un sentiment précoce de défaillance de l’environnement. L’enfant voleur cherche inconsciemment à combler un manque, à prendre quelque chose qui lui était dû et qui lui a été refusé. Les facteurs affectifs (carence ou séparation) sont presque toujours présents dans la genèse des comportements de vols répétitifs.
Thérapie
Quelle que soit la psychologie de l’enfant et la nature du comportement, les parents sont capables de les remettre sur la bonne voie en les aidant à ne plus le répéter.
Plusieurs solutions efficaces pourront les aider :
De 15 à 20 % des enfants de 1 à 3 ans sont atteint du trouble du sommeil ou des réveils nocturnes fréquents. Mais généralement à partir de la 3ème et la 4ème année, l’incidence commence à s’atténuer petit à petit.
Le manque de sommeil chez un enfant a un impact sur son comportement et sa psychologie. Ainsi, ses facultés d’attention, ainsi que son développement cognitif vont diminuer. Les parents à leur tour seraient affectés et vont du coup subir les conséquences de ce fait par des perturbations de sommeil, un manque de concentration au travail, fatigue, et mauvaise humeur. Si vous avez un ou d’autres enfants, eux aussi, ils en seraient affectés avec la même intensité.
Le somnambulisme est un phénomène inquiétant pour les parents. Il fait partie du groupe des parasomnies. Il s’agit de simples perturbations dans la transition des phases de sommeil qui conduisent les enfants à faire des promenades nocturnes. Les spécialistes affirment que cette pathologie est héréditaire à 80 %. En général, les crises de somnambulisme au moment d’une phase profonde du sommeil c’est-à-dire à une à trois heures après l’endormissement. L’épisode se prolonge sur une dizaine de minutes et pendant la crise, l’enfant se réveille à moitié, tandis que son cerveau, reste endormi avec une perception visuelle probable.
Les parents ne doivent pas attendre si leur loulou souffre d’insomnie. Les troubles de sommeil de l’enfant doivent toujours faire l’objet d’une consultation médicale. Cela ne veut pas dire que ce phénomène doit être traité avec des médicaments, parce que avec cette solution l’amélioration ne sera que temporaire et elle ne laissera à sa suite que des effets secondaires. Le mieux donc est de faire appel à un spécialiste : un psychologue pour enfant (un pédo-psychologue) ou à une l’hospitalisation pour déconditionner l’enfant et son entourage, si le trouble est dû à une anxiété de la séparation des parents.
Le médecin peut aussi vous proposer l’homéopathie pour le sommeil de votre enfant si celui-ci souffre souffre de la poussée des dents, des coliques ou de n’importe quel autre malaise physique. Prenons comme exemples les traitements suivants :
De toute manière c’est le pédiatre est la seule personne qui pourra vous prescrire le meilleur traitement homéopathique.
Bien que les spécialistes stipulent que la violence d’enfant est un comportement spécifique aux enfants en bas âge, ils invitent les parents à intervenir pour l’atténuer et proposer aux enfants d’autres façons de s’exprimer et de réagir. En effet, l’agressivité est bien fréquente chez les tout-petits et chez les enfants d’âge préscolaire et pour arriver à la contrôler l’enfant va avoir besoin de l’aide active de ses parents.
Avant l’âge de 3 ans la maitrise des émotions est l’une des causes de colère chez l’enfant. Le mot “non” est le mot qu’il adore prononcer afin d’affirmer son autonomie croissante. Il a aussi tendance à se battre pour acquérir tous les objets qu’il dédire posséder. Ainsi l’agressivité physique telle que pousser, mordre ou frapper augmente et culmine généralement entre 2 et 3 ans et à partir de 3 ans la fréquence de l’agressivité devrait commencer à décroître. Et au fur et à mesure que l’enfant grandit, les parties du cerveau, enclines à freiner l’agressivité physique, vont se développer et le conduire à devenir de moins en moins violent.
A l’âge préscolaire, il devient plus intelligent et plus calculateur. Il sait négocier avec ses amis, ses parents et les personnes qui s’occupent de lui pour atteindre ses objectifs et peut même ridiculiser, menacer et insulter certaines personnes si elles ne lui accordent pas ce qu’il veut.
Si un enfant est régulièrement témoin des disputes familiales et assiste même à des scènes de violences conjugales, cela le laisse croire que l’agressivité est une réaction normale et il sera ainsi agressif envers son entourage et par la suite ses camarades de classe.
Si l’enfant reçoit peu d’attention ou si ses besoins affectifs ne sont pas pris en considération, il est donc moins enclin à se soucier des sentiments des autres.
Un enfant peut par ailleurs être inquiet à cause de l’arrivée d’un nouveau bébé, d’une séparation, d’une naissance ou d’un deuil et ses efforts d’adaptation aux changements vont le fatiguer et l’irriter. La punition sévère et régulière a aussi tendance à augmenter son agressivité.
Voici les différentes maltraitances à éviter avec ses enfants :
Humiliation, chantage affectif, manifestation de rejet ou de mépris, dévalorisation systématique, indifférence, exigences éducatives excessives ou disproportionnées par rapport à l’âge et aux capacités de l’enfant, punitions et sanctions exagérées, emprise sectaire…
Types de violence
Outre la violence physique infligée aux enfants, la violence psychologique a des retentissements sur leur développement psychoaffectif et elle est considérée comme l’une des formes de maltraitance exécrable.
L’une des causes principales de la violence scolaire est l’échec des encadreurs à évacuer ou à canaliser leur nervosité et leur stress à l’école maternelle. La relation entre les parents est aussi une cause à relever, notamment si elle est conflictuelle parce qu’elle agit directement ou indirectement sur la psychologie de l’enfant.
Pour gérer le comportement agressif de votre enfant il convient de rester calme et ferme, même si c’est difficile. Il ne faut jamais attaquer l’enfant ni physiquement ni verbalement. Essayer de comprendre les causes de son agressivité. (Est-ce une façon pour lui d’affirmer son autonomie ? Une réaction de frustration ? Est-il agressif parce que les enfants autour de lui le sont?).
Il faut lui faire ressentir que vous le comprenez et que vous compatissez avec lui parce qu’il a besoin de savoir que quelqu’un le comprend.
Coté relationnel, l’enfant doit apprendre à aimer les autres et se comporter avec gentillesse avec autrui : amis, famille et animaux.
Quand il est nécessaire de punir, les parents doivent recourir à une punition qui favorise l’apprentissage en y associant toujours une courte explication, par exemple la réparation, telle que la consolation d’un ami, ou le retrait dans un endroit neutre (une chaise ou la marche d’un escalier), à raison d’une minute d’âge (2 ans, 2 minutes, etc.).
Afin d’épanouir le développement de votre enfant, il faut commencer par soi, alors n’hésitez pas de vous informer sur le développement personnel et l’encadrement sur développement-personnel.net.
Il n’est pas judicieux de qualifier tout enfant turbulent et plein d’énergie d’enfant hyperactif. Pour cataloguer son enfant d’une telle anomalie, il est nécessaire de réaliser un diagnostic complet relevant les différents symptômes du syndrome d’hyperactivité. Etant mal canalisée, l’énergie d’enfant hyperactif, va jusqu’à nuire à l’équilibre normal de sa vie quotidienne. Trois particularités permettent de détecter cette pathologie : L’inattention, l’impulsivité et l’agitation.
Pour vérifier si un enfant est hyperactif ou pas, voici les symptômes relevés par les spécialistes de santé :
– Il parle beaucoup et fort ;
– il ne tient pas en place pendant les activités et jeux de loisirs
– court et grimpe partout où il se trouve
– a du mal à s’assoir et se lève quand il ne devrait pas…
– se dandine lorsqu’il est assis, remuant souvent les mains et les pieds
L’examen global visant à déterminer les symptômes d’hyperactivité chez l’enfant est si complexe et ne peut être effectué qu’à partir 4 ans. D’ailleurs, plusieurs spécialistes estiment qu’il existe différents “degrés” d’hyperactivité.
En effet, pour établir l’examen, il convient de commencer par une fiche de renseignement relevant les témoignages des tous les membres de la famille de l’enfant ainsi que ses encadreurs pédagogiques. L’observation de l’enfant lors des consultations est également indispensable pour affirmer qu’il est réellement hyperactif. Le médecin qui le traite doit étudier avec minutie la psychologie de l’enfant pour déterminer les difficultés de concentration qu’il peut avoir, son impulsivité et son agitation psychomotrice pour lui prescrire le traitement idéal de son hyperactivité.
Tous les antécédents chez les parents (conditions d’accouchement, prise de substances chimiques ou toxiques telles que drogue ou alcool…) Les troubles du sommeil ou les possibles tics et crises d’épilepsie de votre bout de chou sont également à prendre en considération.
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